La littérature sous caféine


lundi 25 mai 2020

Gilets jaunes, la tentation du passage à l'acte (1/3)



Portrait de deux agriculteurs haut-normands, tentés par la violence à l'occasion de la crise des Gilets jaunes.

(Lecture d'un cinquième extrait de "La Révolte des Gaulois")

lundi 18 mai 2020

Blancs des villes, Blancs des champs



Portrait de Pauline, basque et champenoise, prenant conscience qu'il existe deux sortes de blancheur en France : la blancheur parisienne, et la blancheur des campagnes

vendredi 15 mai 2020

Le bobo des campagnes (2/2)



Dans cet extrait, j'évoque mon arrivée dans la petite ville d'Epernay, quelques mois avant l'arrivée de Macron au pouvoir.

lundi 11 mai 2020

Le bobo des campagnes (1/2)



Lecture d'un extrait de "La Révolte des Gaulois" (Léo Scheer 2020).

J'y évoque ma vie dans le quartier métissé de Belleville avant mon départ pour une petite ville de province.

J'y cite Jean-Claude Michéa, Christophe Guilluy, Didier et Eric Fassin.

mercredi 29 avril 2020

Les Gilets jaunes sont-ils antisémites ?



Emmanuel Aumonier me reçoit sur Judaïques FM le 11 avril 2020, pour "La Révolte des Gaulois" (Léo Scheer, 2020).

Les Gilets jaunes sont-ils antisémites ? Les Gaulois sont-ils tous blancs ?

vendredi 24 avril 2020

Malaise de la question blanche ("La Révolte des Gaulois", extrait n°2)



Lecture de la page d'ouverture de "La Révolte des Gaulois" (Léo Scheer 2020).

Contient une citation de François Busnel dans le numéro "De la Race en Amérique" de la revue America.

Photo : le rappeur Rémy

mercredi 22 avril 2020

"L'effroyable douceur d'appartenir" (Nicolas Mathieu, Goncourt 2018, commenté dans "La Révolte des Gaulois")



Lecture d'un sous-chapitre de "La révolte des Gaulois" (Léo Scheer, 2020), "Les marges qui se confondent", commentant la question culturelle dans le roman de Nicolas Mathieu, "Leurs enfants après eux" (Prix Goncourt 2018).

mardi 21 avril 2020

Hollywood et le social trash

Pendant plusieurs décennies, Hollywood a poussé toujours plus loin les frontières de ce qui était regardable en termes d’horreur, et cela nous a donné par exemple le « torture porn » d’Eli Roth. Ayant sans doute atteint une limite en la matière, j’ai l’impression qu’Hollywood cherche aujourd’hui de nouveaux terrains de sensationnalisme, et je me demande si nous ne pourrions pas baptiser « social trash » cette nouvelle tendance consistant à mettre en scène le pire du pire en matière de sévices, notamment dans le cadre familial. Cela donne d’ailleurs lieu à des pépites en la matière, comme « Precious » (2009) dont l’héroïne tombe enceinte de son propre père, ou « Joker » (2019) dont le personnage se rend compte qu’il a été violé très jeune par son beau-père.