La littérature sous caféine


mercredi 30 décembre 2020

En décembre...

... je me suis attaché à la figure de Marcel Aymé / J’ai découvert une nouvelle pépite du White trash avec Harry Crews / Grâce à Jean-Louis Costes, j’ai réalisé qu’il existait de véritables punks français / Je me suis lassé du génial Dumas avec son interminable Comte de Monte-Cristo / J’ai parfois quitté les plages glacées de la musique classique pour la convivialité des podcasts littéraires de Richard Gaitet / Je me suis rappelé comme Tom Cruise était doué pour jouer les connards infatués comme dans Vanilla Sky / J’ai dû renoncer au ciné-club en dépit du cadre idéal que représente le couvre-feux pour la série Tchernobyl / J’ai découvert en César Franck un sorte de petit Beethoven à la française / J’ai tardivement écouté le rock viril de Pearl Jam / Je me suis laissé impressionner par la succession de chapitres forts en gueule de La Maison d’Emma Becker.

lundi 14 décembre 2020

Affaire Paty : les enseignants doivent-ils se justifier devant les parents ?

Le 9 décembre 2020 sur France TV Info, à propos de Samuel Paty et de la loi sur le séparatisme. Interview mené par Louis Laforge

mardi 1 décembre 2020

Enviez les pères de famille, ils ont le droit de régresser !

L’un des plaisirs d’avoir des enfants, c’est de pouvoir consommer EN TOUTE BONNE CONSCIENCE non seulement des pans entiers de littérature jeunesse – ceux que l’on connaissait déjà, mais d’autres que l’on découvre, comme l’étonnamment réussi « Monde de Narnia » – mais aussi des films de divertissement familial par véritables séries, comme les classiques Disney (que je peux prétendre avoir maintenant vus dans leur intégralité), les films de superhéros, ou ces films d’aventures dont les années 80 et 90 semblaient avoir le secret, dans le sillage de Spielberg, Howard ou Zemeckis – une formule assez magique dont nous avons semble-t-il perdu la formule et dont les « Goonies » (Richard Donner), me paraît être un merveilleux archétype. Dans quelques années, je poursuivrai mon chemin renouvelé dans la culture bis par une resucée de films d’horreur, de westerns spaghettis et d’humour potache.