La littérature sous caféine


"La Viveuse" au prix Sade

Très heureux d'être nominé pour la 2eme fois pour le Prix Sade, dont j'ai toujours aimé l'insolence et la beauté des choix. Il fallait de l'audace pour couronner le radical "Chienne" de Marie-Pier Lafontaine en 2020 et même pour accepter de mettre en lumière mon improbable "Homme qui frappait les femmes" en 2013. J'ai déjà eu l'occasion de dire à Laurence Viallet, membre du jury, toute mon admiration pour son travail d'éditrice, puisque Kathy Acker et David Wojnarowicz sont deux jalons de ma formation littéraire. La Viveuse n'a sans doute pas la radicalité de ces auteurs, mais l'impulsion de son écriture a puisé dans des sources comparables. Merci à Emmanuel Pierrat !


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