Dévorant la trilogie de Jules Vallès, je découvre un Zola sans épate, un Céline sans esbroufe... Un autofictionnel avant l'heure, aussi. Mais avec un style, un panache que n'afficheront pas ses suiveurs. Le propos se veut modeste. Le gaillard avait pourtant du tempérament : il savait se mettre en scène. C'est un journal sensible et combatif avec de l'humour et le goût du bon mot. Pour un peu, j'épouserais la Commune !