La littérature sous caféine


Quelle joie, les auteurs désespérés !

Schopenhauer, Houellebecq… Quel bonheur ! Au fond, les auteurs les plus pessimistes m’ont toujours fait rire. En énonçant le pire ils nous rassurent sur notre propre état mental et nous donnent envie de les rassurer eux-mêmes. Ceux qui ne partagent pas ce plaisir-là sont des gens qui ne comprennent sans doute rien au principe de l’humour noir. C’est une sorte d’hygiène mentale, un grand décrassage.


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