La littérature sous caféine


Arthur, de toute éternité

Passionné par la geste arthurienne, je me laisse reprendre par ma collectionnite. Je me procure un nombre invraisemblable de versions : Chrétien de Troyes, Malory, Boulenger, T.H. White, Barjavel, Le Guillou, ainsi que des livres théoriques - William Blanc, Emma Jung... Cette année je découvre une version contemporaine très grand public distribuée dans les relais de presse, publiée par un obscur éditeur espagnol (RBA) et sans doute fantaisiste. Mais je la trouve formidable avec ses cliffhangers et son sens très cinématographique du fantastique. Je retrouve avec elle le plaisir à peine avouable, presque éteint depuis l'enfance, de la narration pure. Le sens du merveilleux est si difficile à entretenir !

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