La littérature sous caféine


Un génial curé surréaliste

Marcel Aymé ne tarit pas d'éloges sur Rabelais - "Un génial curé surréaliste" - mais conclut sa formidable préface par le conseil de s'en tenir au deux premiers volumes. Las, j'ai découvert en préparant le Dîner du cochon la page hallucinante - le mot n'est pas galvaudé - qui met en scène, dans le Quart Livre, Mardi gras le Cochon volant, dans une bataille épique contre des andouilles... Dans ces conditions, comment résister à la lecture intégrale de l'oeuvre ? D'autant que je découvre précisément en ce jour de Mardi gras qu'il existe une version illustrée par Gustave Doré...


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