"Je lutte contre la grossophobie littéraire !" clame Grégoire Bouillier en préambule de la présentation de son dernier roman par Sébastien Reynaud (Zone critique). "Quand un lecteur se plaint de l'épaisseur de mon livre, je lui réponds que mon livre n'est pas gros. C'est lui qui n'a pas le temps de lire !" S'ensuit une passionnante discussion sur le syndrome de Florence. Celle-ci me rappelle un vieux billet écrit ici même, à propos du fait que certaines œuvres d'art avaient le don, bien placées dans un musée, de me foudroyer - surtout quand il fait froid ! En ce moment, les circonstances y sont favorables...