Au Festival Béton du Havre, je me souviens que le béton peut être élégant. Je sirote du café trop fort en feuilletant des livres fous, des livres trop gros et trop chers avec des textes abscons mais sublimes, des livres qui hanteront ma bibliothèque, ces livres que j'appelle les livres monstres, volumes farouches à l'image de cette ville unique, belle aussi parce que mal aimée.