La littérature sous caféine


En octobre...

En octobre, j’ai pleuré Samuel Paty / J’ai purgé ma colère dans quelques tribunes / J’ai rattrapé chez Ruquier mon précédent ratage chez Taddéi / J’ai regardé les films de Xavier Dolan comme autant de documentaires sur le Québec / J’ai découvert chez Paolo Sorrentino la même ambition plastique que chez David Lynch / J’ai goûté les romans vigoureux de Virginia Bart, la plume facétieuse d’Olivier Liron / J’ai découvert qu’il existait un courant post-punk revival avec le groupe Interpol / Je me suis gavé de navets testostéronés comme Fast and Furious / Je me suis rattrapé avec les pages distinguées de Ramuz, les atmosphères ombreuses de Pelléas et Mélisande, la prose roborative de Taine.


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