La littérature sous caféine


Les petits livres assez fous

Je suis amoureux de ces petits livres assez fous que se permettent des auteurs au comble de la reconnaissance. Quoi de plus improbable que « Le Dépeupleur » de Beckett (1970) ou « L’homme assis dans le couloir » de Duras (1980) ? Univers démentiels, hallucinations brèves… C’est un luxe inouï, la liberté totale, que de s’affranchir l’espace de quelques pages de toute logique commerciale et même de toute attente du public – et pourtant d’être lu.


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