La littérature sous caféine


Tata Joe a encore frappé



1) Lors d'une sortie au Louvre, une élève de première : "Ouah, Monsieur, c'est trop pourri le centre de Paris : toutes les rues, elles sont vieilles !"

2) Un homme à cran dans un bistrot de Belleville, à qui l'on demande ce qu'il veut prendre : "Oh, un café ! Comme d'habitude ! Qu'est-ce que vous voulez que je prenne d'autre, hein ? (Rire sardonique) Du champagne ? AH AH AH ! Par les temps qui courent..."

3) Dans une ferme en Normandie, un mouton dont la tête déborde de frisettes passe la tête à travers la barrière. Une mère de famille la désigne à sa petite fille: "Regarde, on dirait tata Joe..."

COMMENTAIRES

1. Le jeudi 3 juin 2010 à 15:40, par Marie

Je n'avais pas regardé ce blog depuis très longtemps mais j’ai bien fait d’y jeter un œil à l’instant car je m’ennuie beaucoup au bureau en ce moment, alors tes brèves "élèves", "troquets", etc., me font beaucoup rire. Merci Aymeric !!!

2. Le jeudi 3 juin 2010 à 16:19, par gorgio

moi les moutons me plaisent ce sont de gentils animaux qui ne feraient pas de mal à une mouche et même s'ils voulaient faire du mal à une mouche ils n'y arriveraient pas bêtes comme ils sont

3. Le vendredi 24 mai 2013 à 11:21, par evening dresses at jcpenney

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