La France est présente par son industrie du luxe, ses peintres, son vocabulaire chic sur les enseignes, sa boulangerie (les fast-food raffolent des baguettes) et, dans une moindre mesure, par sa gastronomie ; l’Allemagne par ses voitures ; le monde anglo-saxon par ses fast-food, sa musique et son cinéma ; l’Italie par sa cuisine, ses compositeurs et son architecture ; la Scandinavie par son design ; la Russie par son folklore / La musique classique est vraiment présentée comme une part importante, et vivante encore, du patrimoine national / En termes de cafés, on trouve soit de petits établissements chics, confortables et branchés, soit de belles et anciennes brasseries, aux boiseries sombres mais chaleureuses / Prague est le lieu d’un certain métissage intra-européen, mais très peu extra-européen (on y croise par exemple les types slave, germain, scandinave, parfois italien, plus rarement turc) / La ville a un côté « best-of de l’architecture européenne » presque drôle / Dans les vitrines, le christianisme est assez présent sous forme de figurines pour les touristes (l’enfant Jésus de Prague) ou de bondieuseries, même si l’on sent le phénomène en régression.